Geoff Pevlin

A blackout poem, such as “The Lightkeeper”, is made from a page (or pages) of text which has had portions blacked out. The remaining visible words comprise the poem. This form was chosen to appear alongside “Let It Shine” as it is analogous to primitive rug hooking in that both disciplines take something old (either fabric or previously written words) and create a new piece of art from it. The words from this poem were taken from Jim Wellman’s Lighthouse People. See more of Geoff Pevlin’s work at GeoffPevlin.com.

 

 

Geoff Pevlin

Un poème à trous, tel que The Lightkeeper, est composé à partir d’une page (ou de plusieurs pages) de texte dont certaines parties ont été supprimées. Ce sont les mots visibles restants qui composent le poème. Cette forme d’expression a été choisie pour illustrer l’œuvre Let It Shine, car elle évoque le hookage primitif, dans la mesure où, dans les deux disciplines, on part d’un objet ancien (un tissu ou des mots déjà écrits) pour faire une nouvelle œuvre d’art. Les mots de ce poème sont tirés du livre Lighthouse People de Jim Wellman. Vous trouverez d’autres œuvres de Geoff Pevlin sur GeoffPevlin.com.